Un petit billet court et léger, pour changer, au sujet d’un petit film sans surprise mais rigolo, La chance de ma vie, mettant en scène Virginie Effira et François-Xavier Demaison dans un Vaudeville présentant les mésaventures d’un conseiller conjugal brillant, sauf en ce qui le concerne, comme tout cordonnier se devant d’être mal chaussé.
Hormis le fait qu’il m’ait plutôt fait rire, pourquoi prend-je quelques lignes pour vous en parler, et où diable est le rapport avec Acide Ici ? C’est simple.
Attention ! La suite de ce billet dévoile un élément clé de l’intrigue, dont on ne saurait se douter de soi-même au visionnage de ce film au suspense haletant.
L’élément clé est le suivant : lorsqu’on n’est pas trop con, on finit par réaliser que chance et malchance n’existent pas et que c’est dans la manière dont on regarde les choses qu’on saisit le bonheur lié à ce qui semble en première lecture comme un désagrément. Comme je vous le dis, ma brave dame : à quelque chose, malheur est bon, crévindiou. Ce film léger vous rappelle que toute opportunité vous arrive avec le masque du coup dur, sinon ce ne serait pas une opportunité. Tout le monde est capable d’aller encaisser un billet gagnant du Loto, on n’appelle pas ça une opportunité. Votre talent, c’est de créer la chance au lieu de vous lamenter. Pour les gens qui savent « rebondir », comme on dit en pipeaulangue moderne, un coup un peu dur – perte d’un emploi, rupture, projet tombant à l’eau, … – est l’occasion d’une part d’apprendre, et d’autre part de reconstruire en mieux ce que vous n’auriez pas remis en question si la vie ne vous avait pas bousculé. Bref, de partir d’une « malchance » pour vous faire une vie meilleure que s’il ne vous était rien arrivé.
Souvenez-vous que derrière toute grande réalisation se trouve souvent une frustration. Et lors de votre prochain « mauvais coup », dites-vous que si Virginie Effira n’avaitpas paumé les plans de la bagnole, elle n’aurait pas eu l’opportunité de faire le design du siècle…
(Soyez prévenus, vous aurez de temps à autres un petit post de comptoir, à lire avec un ballon de blanc au zinc)
Non mais sérieusement, repense ton design… j’ai voulu lire l’article, j’ai tenu 3 ligne.
Déjà aligne à gauche ton corps de texte au lieu de le justifier, ça augmente la lisibilité sur le web.
Un corps de texte à peine plus petit serait bienvenu aussi, et quelques sauts de ligne supplémentaires.
Voila j’espère vraiment que tu vas prendre en compte mon conseil de webdesigner (je suis infographiste) parce que je trouve dommage de tuer ta lisibilité… et donc ton lectorat.
Damien, pourrais-tu me préciser ta config (OS/Browser/ version du tout ? ) Ca pourrait aider.
Merci pour tes encouragements, l’avis d’un infographiste est toujours bon à prendre.
Win 7 et Google Chrome 9.0.597.83 beta
Et maintenant, l’affichage est-il correct ?
Non… N’hésite pas à revenir à un design plus sobre… le texte dans le champs de commentaire est encore trop petit.
La typo grunge en haut aussi… (et pourtant c’est un style que j’aime bien) c’est pas adapté pour la lecture web.
Grah… je sais pas pourquoi tu t’es mis en tête de modifier ton site ! mdr
C’est le contenu qui nous intéresse, pas l’emballage… et maintenant on a peine à s’intéresser au contenu. :(((
Oui, j’ai trouvé le film sympathique, mais sans plus…
En effet, il n’allait pas bien loin, c’était simplement un moment de sourire. Mais j’avais trouvé à l’époque sympa de s’appuyer dessus comme illustration d’une vision positive de la vie.
Matt a posté dernièrement Un peu de douceur dans un monde de brutes 3 – Ne vous forcez pas non plus à sourire en permanence
« lorsqu’on n’est pas trop con… » et voilà, y en a encore qui vont râler ! ^^ Pas vu ce film, mais la philosophie que tu en tires m’agrée.
Dans ce cas, le film est dispensable. Mais sympa tout de même pour passer un moment sans se prendre la tête.
Matt a posté dernièrement Secrets de blogueur : rencontre avec Antonin Léonard
Ah oui, il est où le ballon de blanc promis ?
Au zinc, comme indiqué.
Matt a posté dernièrement Le maton parfait